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épisode 2

L’homme marié s’appelait Bruno. Il était châtain clair aux yeux bleu pâle.
c’était un homme simple, resté beau gosse grâce à sa stature de sportif,.Il avait jusqu’alors tenu à sa famille comme on tient à sa caisse juste parce qu’il avait investi,.

Il faisait tout pour l’entretenir et faire que ça marche parce que ça faisait beau. Il aimait ses gamins parce que c’était les siens, mais  ne savait pas au fond qui ils étaient. Un malaise l’an passé lui avait mis la puce à l’oreille, il s’était rendu compte qu’il était passé à côté d’une partie de sa vie en prenant soin de recopier plutôt qu’explorer. Mille démarches veines n’avaient pas suffit à le décourager et il voulait apprendre à comprendre.

Comme quoi ;, l’idée de la mort peut avoir de trés bons côtés….

La jeune demoiselle arrivait d’une autre région et voulait simplement faire des rencontres. Bénédicte et Elle échangèrent leur numéro à leur seconde mail et se rencontrèrent au bout de deux jours, tout juste le temps d’harmoniser leurs agendas. Stéphanie aussi était en lien avec Bruno, elle le trouvait gentil et trouvait qu’il faisait de son mieux avec sa famille, elle trouvait attendrissant le fait qu’il cherche des amies filles pour mieux comprendre sa femme.

Je pense pour ma part qu’il cherchait tout simplement à se comprendre lui explorant plus avant ses côtés féminin…

Elles instaurèrent le lundi midi à la pizza du coin, puis un jour Bruno se joignit à elles. Elles partirent en week end randonnée, au ski, et à la toussaint, pendant les vacances scolaire, Bruno les rejoignit au refuge où elles avaient prévu de passer 4 jours.,

Johanna  avait reçu des nouvelles de son père qui était au plus mal, elle était partie en catastrophe embarquant les enfants. Les vacances pour une fois tombaient bien et au lieu de partir du samedi comme avant, c’est le jeudi qu’elle prit la route via le Val d’Oise.

Bruno dans un premier temps voulu resté chez lui, mais au bout d’a peine un jour et demie, cette grande maison vide lui donna le tournis. Dès la sorti du taff, il prit un sac à dos avec pull et rechange et tout droit vers le refuge.

Les filles avaient marché toute la journée sans vraiment discuter. Elles avaient fait des photos des points de vues magnifiques, des fleurs, des insectes, des marmottes et d’elles, puis de l’une et l’autre et d’elles. En rentrant elles avaient préparé le repas, allumer le feu, dresser la table, et comme si elles ne s’étaient pas vues de la journée, se mirent à bavarder. La discussion ne souffrait aucun temps d’arrêt tant en si bien que lorsque Steph partit prendre sa douche, Béné suivi le plus naturellement du monde.

La cabine se fuma en un rien de temps et seul le bruit de l’eau trahissait les gestes de Steph.

La chaleur, l’ambiance, l’instinct du naturel fit déshabiller Béné qui sans même s’en rendre compte, entra dans la large cabine. Steph fut surprise mais sans plus. Elle sourit et orienta doucement le pommeau vers elle. Le frais qu’elle eut à ne plus être sous l’eau la poussa plus près de sa compagne. Béné qui avait une éponge moussante l’appliqua sur la peau ruisselante de Steph. La mousse fondait trop vite et glissait alors Béné mis ses mains. Un genre d’innocence s’était emparé des jeunes filles qui pourtant avait franchit un cap. Steph accrocha le jet d’eau et répondit au caresses par un baiser sur l’épaule. Puis elle s’approcha encore et embrassa son coup.

Bruno n’était plus qu’à cent mètres. Il connaissait les lieux pour y avoir séjourné deux mille ans en arrière, quand étudiant sa vie avait un sens. Quand il savait encore qui il était ce qu’il voulait et comment il allait y arriver. Johanna avait tout gommé de lui, ou alors c’était lui qui n’avait plus vu qu’elle et ses désirs d’enfants, de maison, de vison… (c’était juste pour la rime)

Il sentait son cœur battre à nouveau, il voulait à nouveau vivre des aventures, des amitiés, partir en montagne affronter des orages, si plier de fou rire, crier, courir, ne plus jamais mentir, il avait 14 ans pour la deuxième fois.
Il gara sa voiture et sortit en criant.. ohé les filles…

Dans la salle de bain, l’air était étouffant et opaque. Même une fanfare n’aurait pu mettre un terme au ballet étonnant des langues qui s’aimaient. Leurs mains se tenaient comme pour s’interdire. Leurs seins se caressaient s’offrant des sensations extrêmes.

           
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Ah les randonnées, ses paysages, ses fleurs... ses douches hé, hé... Je connais un type qui va avoir la surprise de sa vie en entrant après son "coucou les filles !" Bises ma belle et décidemment, j'aime bien tes délires "sexués" hé, hé)
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